Train à vapeur : détail du mécanisme bielle-manivelle
Détails de la mécanique du Train des Pignes (arrière pays niçois)

Cette photographie d’un ancien train à vapeur rénové montre le métal brillant des bielles et des manivelles, qui constituent une partie du mécanisme transformant le mouvement de translation du piston en mouvement de rotation des roues.

Ce cliché évoque également l’odeur du charbon, le sifflement de la vapeur, les étincelles qui jaillissent et le mouvement sans faille de cette impressionnante mécanique que peuvent percevoir les passagers du train.

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Comment fonctionne un train à vapeur ?

Le piston est connecté à un essieu et des barres d’accouplement permettent d’entraîner d’autres essieux. Les plus grandes locomotives à vapeur disposaient de cinq essieux couplés (10 roues pour les locomotives de type « Santa Fé »).

L’efficacité peut aussi être grandement améliorée avec le principe d’une machine à double effet (ou double action) dans laquelle un tiroir glissant distribue la pression à droite puis à gauche afin que le piston soit entraîné à l’aller comme au retour.

Le train des Pignes

Ce train à vapeur pittoresque promène les touristes dans l’arrière pays niçois, entre les bourgades de Puget-Théniers (Alpes-Maritimes) et Annot dans les Alpes-de-Haute-Provence, en passant par Entrevaux et sa citadelle.

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